Nous y sommes, ou plutôt, n’y sommes plus. Nous avons quittés les îles d’Hyeres pour le continent.
En cause dans l’abandon de notre retraite toute relative dans le parc naturel de Port Cros, la question d’autonomie… Cette autonomie que nous cherchons à allonger le plus possible et qui nous a fait défaut pour profiter, une journée supplémentaire du calme des mouillages encombrés pour venir subir les affres d’une station balnéaire ou sont disponible entrecôtes et rhumerie.
Alors, dans les faits, les stocks de nourriture étaient correct, plus beaucoup de frais, mais la situation était tenable. Stocks d’eau, pas a block mais globalement nous ne craignions ni la déshydratation ni l’absence de douche.
Alors quoi ? Alors, le stock de rosé et de petit blanc était à vide… Comme celui de cigarettes. Plus rien, c’est malheureux mais c’est bien à l’origine d’une traversée sans histoire et sans vent.
A moins bien sûr que tout ceci ne soit qu’une vaste fumisterie pour profiter de la bonne compagnie d’Amandine (Coucou copinette 😉 !